Synopsis
Petites guéguerres entre plusieurs clubs de danse, sur fond de hip-hop.

Anecdotes
Ironiquement, c’est donc dans une production de Menahem Golan (producteur qu’il accoste deux ans plus tard pour lui demander un rôle et qui lui confiera Bloodsport) que Van Damme fait sa première apparition à l’écran, au détour d’une courte scène dans laquelle on le voit danser. L’apparition, hilarante, montre un Van Damme très désireux d’être vu à l’écran ! Avec plus de 36 millions de recette au box-office américain, Breakin' s'impose comme l'un des plus gros succès de l'acteur. Michel Qisi, pote de Van Damme, fait également de la figuration dans le film.

Une suite, intitulée Breakin 2 - Electric Boogaloo a été réalisée, bien entendu sans Jean-Claude Van Damme. Reprenant les personnages du premier épisode, cette suite a rapporté la somme confortable de 15.101.131$ aux Etats-Unis. Breakin, une série qui rapporte !!

Critique
Que vaut, vingt ans après sa réalisation, le premier film consacré à l’univers du hip-hop ? Pas grand-chose. Produit à la va-vite par un Golan opportuniste (responsable quelques années plus tard d’un Lambada – The movie, ne l’oublions pas), Breakin’ ne vaut même pas par ses scènes de danse, filmées mollement et sans rythme. Restent des acteurs qui y croient un tout petit peu, sans pour autant faire preuve de talent. On se console avec ce qu’on a : Van Damme apparaît à peu près vingt secondes dans le film.

Le coup qui tue
Pas un coup, mais Van Damme, en moule-burnes, qui danse les bras écartés.

La réplique qui tue
Aucune.

Quelques liens
Site officiel
Site de fan